Nouvel extrait d’un album homonyme à paraître le 29 septembre
L’auteur-compositeur-interprète présentera
un peu partout au Québec dès le mois de novembre. Le spectacle montréalais du 29 novembre se tiendra finalement au Studio TD pour permettre l’accueil d’un plus grand nombre de convives.Après la parution des extraits Avant Elle et Ensemble,
revient avec , un troisième extrait de son prochain album à paraître cet automne.est disponible dès aujourd’hui sur toutes les plateformes de téléchargement et d’écoute en continu. L’auteur-compositeur-interprète y explore le thème de la rupture avec un détachement calculé. «Tu peux pas tout avoir, mon amour, au revoir », répète Aliocha Schneider sur une mélodie lente couplée à des chœurs denses et une guitare électrique lascive et chaleureuse.
La langoureuse balade nous plonge dans une histoire où le protagoniste se retire d’une relation dans laquelle il n’obtient pas ce qu’il désire. «C’est une chanson de rupture, mais je la vois avant tout comme une chanson d’affirmation de soi. Je voulais qu’il n’y ait ni colère ni trop de tristesse, mais juste la douce sérénité de la dignité retrouvée», explique l’auteur.
Aliocha Schneider a composé cette chanson avec le réalisateur de son album à venir, Marc-André Gilbert (Charlotte Cardin, Ariane Moffatt, Milk & Bone) que l’on peut également entendre à la guitare électrique, aux claviers et aux cordes. Maxime Bellavance (batterie), Alexandre Lapointe (basse) et Izzy Dune (cordes) complètent l’ambiance.
Après les albums en anglais Eleven Songs (2017) et Naked (2020), l’album homonyme d’Aliocha Schneider sera disponible partout le 29 septembre 2023. Dix chansons aux accents de pop anglo-saxonne sur l’amour, la relation à distance et les désirs. Un album chaud, écrit et composé à Athènes, sur le tournage d’une série événement.
Après deux très beaux albums folks en anglais, Aliocha Schneider s’ouvre davantage en version française. Sa musique se colore d'influences comme Jean Leloup et des sonorités sensuelles de Mac Miller, JJ Cale ou Shuggie Otis qui s’ajoutent à l’esprit folk dylanesque présent depuis ses débuts.