
Soran

Dès le début, 555 nous accroche et nous transmet une irrésistible envie de chanter et de danser. Premier extrait d’un album à venir à l’hiver 2026, 555 paraît moins de deux ans après la sortie du dernier opus de
, , dont il nous avait fait cadeau en mars 2024.S’inscrivant dans la poursuite de ce cycle de création, Soran a voulu se donner la liberté de créer et d’explorer, de repousser les limites de ce qu’on considère comme de la pop. « La majorité des chansons du nouvel album ont été écrites en même temps ou juste après la production de celles de Loneliness Confetti » explique Soran.
Cette continuité s’entend dans le son de 555, qui invoque des influences brit pop, rappelant la musique des années 70 à 90 en provenance du UK, un peu à la manière des sublimes Diamond et Magic sur Loneliness Confetti.
Soran s’inspire aussi de ces époques dans son processus de création. Spontané, ce multi-instrumentiste aime travailler avec plusieurs instruments en studio. Il joue ensuite avec les sons, pour donner un résultat résolument contemporain, tout en empruntant une façon de faire plus rétro.
Brillante chanson pop, moderne et bien ficelée, 555 raconte une histoire de rencontre et d’autosabotage, dans un taxi à 5 :55 du matin.
En plus de son parcours d’auteur-compositeur-interprète, Soran est également un réalisateur prolifique, produisant et écrivant beaucoup de musique pour les autres, ce qui fait partie intégrante de sa démarche artistique. Dans les dernières années, il a notamment collaboré sur les albums de Claudia Bouvette, Fouki, Zach Zoya et Geoffroy au Québec, mais avec des grands noms des scènes canadienne et internationale, dont Alessia Cara, Johnny Orlando, Henri PFR (Bruxelles), Audrey Mika (Los Angeles) et Georgio (Paris).